Vendredi 5 juillet |
Samedi 6 juillet |
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Belle-Isle | 20h : début des concerts MP1point2 VADEL Flavia Coelho |
20h : début des concerts Oh Dear Vegas Dallas Frasca Z-Star |
GRATUIT // PAYANT
Au croisement de la chanson française, du rap et de la musique électronique, MP1point2 malmène joyeusement les frontières du Hip - Hop. L'objectif affiché : emporter le public dans un puissant tourbillon énergisant.
Dans la lignée de groupes comme JAVA, Zebda, IAM ou M.A.P., les deux MCs et les deux machinistes jouent avec les aprioris et griffent leur style grâce à un sens de la formule aiguisé et à des compositions alliant beats percutants, groove et influences éclectiques.
Avec plus de 150 concerts à leur actifs, et de nombreuses scènes aux côtés de têtes d’affiche prestigieuses, MP1point2 a acquis une maturité artistique certaine. C’est sur scène que le groupe révèle toute sa puissance. Le quatuor y chante la société, le monde, les gens, ses coups de cœur et ses coups de gueule.
Un spectacle véritablement original, pour faire danser autant que réfléchir.
D’origines multiples, Adam Vadel voit le jour en août 93. Sa mère, comédienne, l’inscrit au conservatoire à l’âge de 6 ans où il y apprend les cuivres et d’autres instruments dans la famille
des percussions ; le piano lui plaît aussi énormément… mais la batterie deviendra son premier
instrument sous l’influence et le jeux des icônes des 70’s : John Bonham et Keith Moon. Ses premières amours musicales s’affichent du côté du funk : Michael Jackson, James Brown, Prince, Sly
and the Family Stone.
Vadel découvre par la suite les Stones, Ramones, AC/DC qu’il adore. Dès le collège, il commence la guitare qui deviendra très vite son instrument de prédilection en décortiquant à la perfection les riffs de Jimmy Page, Joe Perry , Slash et les tourneries des Red Hot ; dans la foulée fonde son premier groupe et s’empare du chant instinctivement.
C’est lors d’une répétition dans un studio que le jeune groupe est repéré par un proche de Philippe Manoeuvre. Ce dernier, convaincu, les programmera pour les soirées Rock’n’Roll Fridays du Gibus. Vadel sera le plus jeune artiste à participer à l’un de ces illustres rendez vous.
Dans la foulée, il enregistre et autoproduit son premier album à 13 ans. L’album contient une reprise de « I was made for loving you » de Kiss. Il n’est pas distribué officiellement mais a le mérite de servir de carte de visite et d’intéresser les professionnels. Il donne à Vadel l’occasion de passer dans le Grand Journal de Canal + et surtout d’être repéré par une major qui lui offre la possibilité d’approfondir son intensité musicale.
Durant cette période très riche, Vadel fréquente les jam sessions de la capitale, et à force de travail, accède à une maîtrise de la guitare peu répandue chez les musiciens de son âge ; un véritable «guitar hero». Il effectue également les premières parties d’artistes de renommée internationale comme Joe Cocker, Pink ou INXS.
Aujourd’hui âgé de 20 ans, Vadel se consacre entièrement à la musique et partage son temps entre le studio et la scène. Il se rend régulièrement aux Etats-Unis, un pays qui a vu naître de nombreux artistes qu’il admire et dans lequel il se sent bien.
On retrouve dans la musique de Vadel les sons qui ont forgé ses goûts musicaux : cocottes funky et riffs de plomb qui rappellent tantôt le funk de Nile Rodgers, tantôt le rock de Led Zeppelin. Les textes, rêveurs et mélancoliques, traitent de la difficulté à communiquer ou de déceptions sentimentales, mais incitent toujours à l’urgence de vivre.
Un "carnet de voyage". C’est ainsi que Flavia Coelho, fille de l’air née à Rio de Janeiro et installée à Paris depuis 2006, décrit son premier album. L’image colle à ce disque virevoltant, fidèle reflet d’une existence joyeusement mouvementée, ouverte à la beauté des découvertes et des rencontres.
Son titre, Bossa Muffin, qui est aussi celui d’un irrésistible single (le deuxième après le très remarqué Sunshine), claque comme une déclaration d’indépendance, ou un manifeste. Mais un manifeste sans dogmes ni mots d’ordre, qui dans la spontanéité du geste musical chanterait avant tout les vertus du métissage, de la mondialisation sous son visage le plus humain.
Qu’est-ce donc que ce Bossa Muffin ? Un mélange sans pareil entre les trésors harmoniques de la samba et de la bossa nova, les mélodies obsédantes des musiques populaires nordestines (forro, pagode…), les syncopes chaloupées du reggae, la tchatche virtuose du raggamuffin, les pulsations fondamentales des musiques africaines, voire par instants les tonalités de la rumba catalane… Le tout relevé par la voix de Flavia Coelho, garantie sans trucages ni maniérismes – une voix douce et gouailleuse, altière et vulnérable, magnétique et chaleureuse, qui est sa voix de tous les jours, sa voix profonde et naturelle.
Gommant les frontières entre les genres comme entre tradition et modernité, le melting-pop hors catégorie de Bossa Muffin n’est pas un produit de synthèse créé artificiellement en laboratoire : il est le fruit savoureux et parfaitement mûri d’une trajectoire et d’une personnalité uniques.
Avec ces deux complices et un groupe de musiciens venus d’horizons variés, elle a pu modeler cet écrin sonore finement bariolé qui, dans Bossa Muffin, met idéalement en valeur ses atours vocaux. Des tendres inflexions de A foto ou Decide au verbe explosif de Canta comigo, Liberdade ou O que sou, des saillies espiègles de Amor e futebol au phrasé délicieusement swinguant de Bossa Bika Nova, Flavia Coelho papillonne d’un registre à l’autre avec une aisance confondante. La chanson Bossa Muffin raconte le périple d’un homme qui arpente le monde pour mieux se découvrir, se retrouver. Le voyage comme moyen d’accomplir une nécessaire et lumineuse quête de soi : on ne saurait mieux résumer le contenu et la richesse musicale d’un premier album qui, plus que le simple souffle d’une promesse, porte la marque d’un achèvement.
Dans la musique, tout est une histoire de feeling, de hasard... de rencontres...
OH DEAR VEGAS! n’échappe pas à cette règle. En mai 2011, les cinq membres du projet, tous issus de groupes différents, décident de se dépasser et de mettre leur background en commun dans une nouvelle aventure. Cela donne un cocktail musical détonnant qui vous monte à la tête dès les premiers accords !
OH DEAR VEGAS!, c’est deux chanteurs, deux guitares, une basse, un clavier, une batterie et une tonne de talent.
Davy : Guitare, voix
Seb : Basse, voix
Adrien : Piano et machines
Romain : Guitare et machines
Julien : Batterie
Après plusieurs sessions studio, OH DEAR VEGAS! possède aujourd’hui une vingtaine de titres rock aux influences electro, tantôt explosifs, tantôt pop. Puissantes et pétillantes, leurs compos imparables touchent un large spectre musical en restant cohérentes. Grâce à l’expérience et la créativité de chacun de ses membres, le groupe s’est inventé un univers et une sonorité unique, qui ont séduit dès leur premier morceau et continuent de faire des milliers de fans.
Du Blues-Rock puissant, authentique et féminin ! Une voix alliant force et finesse, sur fond de Blues entrelacé par des riffs de guitare démoniaques.
Elle a déjà joué dans plusieurs festivals majeurs tels que Big Day Out, Falls Festival, Bluesfest, Pyramid Rock Festival, Festival of the Sun, Queenscliff Music Festival, Southbound, ou Festival Cognac Blues Passions pour la France en 2009.
Après avoir remporté en 2010 le prix de "L'Artiste de l'Année" et de la "Meilleure Chanson Blues" aux Musicoz Awards ; cette année, le jury du grand concours ICS (comptant Tom Waits, Tori Amos, Jeff Beck ou encore Ozzie Osbourne)qui récompense la meilleure chanson de songwritting (16 000 participants originaires de 122 pays) a placé son titre "All My Love" en 3e position !
Etre présent lors d'un concert de Z-Star est une expérience libératrice; dangeureuse, séductrice, profonde et imprévisible. Le son propre à Z-star est créé et dirigé par la parolier, musicienne et producteur Zee Gachette, et son groupe multi-culturel :
Le brésilien Diogenes Baptisttella (Lead Guitar - Nadeah)
Jevon Beaumont (Bass - Moloko)
Carl Hudson (Keys - Professor Green)
Et le Danois Nikolaj Bjerre (Drums - Lamb, Ian Seagal)
Décrite comme "l'héritière de Jimi Hendrix et de Nina Simone", Zee Gachette est une musicienne admirée par des poids lourds comme Nigel Kennedy ou Quincy Jones. Récompensée par le prix du "Meilleur spectable sur scène" durant les Brighton Music Awards, Z-Star a impressionné l'audience, composée notamment de Jimmy Page (Led Zepplin) et Roger Daltrey (The Who).